jeudi 13 février 2003

BRETON N'EST PAS UNE REFERENCE, MAIS NADJA

*
...maintenant couché aux pieds de N comme un chien fourbu...
Qui étions nous devant la réalité que je sais...
Nadja vous souhaite la mauvaise venue dans le monde parallèle de la vision inspirée des anges. Elle est fulgurante cette mystérieuse vitalité qui fait mousser la destruction. Elle est déroutante cette inquiétante irrationalité qui fait révérence à la sensation. Allez, adieu la pensée, bonjour l'émotion. Qui n'a pas de prix Nadja le commencement du mot espérance mais calmement le commencement parce que tout chavire entre le bon et le mauvais quand on perce l'obscur rideau des apparences et jamais. Elle souffre parce que le problème de liberté.
Enchaînée sur son rocher seule, géniale, errante attelée à sa propre surhumanité. et aussi elle n'est pas belle puisqu'elle dépasse la beauté. Elle est convulsive et cela je le savais déjà depuis longtemps, depuis le jour de ma rencontre avec cette unique et ultime phrase inspirée dont son auteur n'est pas tout à fait digne, mais las! bas! Devant le mystère l'homme de pierre comprends moi...
*

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire